Au nom de l’association «Iniciative 300 Italia», sur la reconnaissance des qualifications professionnelles en Slovénie  

Le pétitionnaire décrit la situation des étudiants italiens qui ont étudié la physiothérapie en italien et qui ne peuvent plus obtenir de qualification professionnelle en Slovénie parce que la législation a changé au cours de leurs études. Il existe désormais une disposition exigeant la présentation d’un certificat de connaissance de la langue slovène au niveau B2 avant de présenter l’examen professionnel. Le pétitionnaire affirme que, conformément à l’article 53, paragraphe 3, de la directive 2005/36/CE relative à la reconnaissance des qualifications professionnelles, la connaissance linguistique ne peut être exigée que lorsqu’une qualification professionnelle a été reconnue dans un autre pays.