15. 04. 2025, 11:32
Bonjour et merci d'avoir signé la lettre des Namurois.es à Maxime Prévot.
Après 3 petites journées, nous approchons des 250 signatures. C'est encourageant. Mais l'objectif est d'atteindre au moins 2.000 signatures (un peu plus de 2% des Namurois.es majeur.es) d'ici mardi en huit (car il y a plus qu'urgence). Un défi ? Oui sans doute, mais accessible et même dépassable (car il y a certainement plus de 2.000 Namurois.es qui partagent les idées exprimées dans la lettre).
Nous comptons sur vous pour nous aider à atteindre ces 2.000 signatures endéans les 8 jours.
Que pouvez-vous faire ?
* inviter les plus de 18 ans qui partagent votre logement à signer la lettre ;
* contacter par courriel vos connaissances, si possible en individualisant votre message (le lien vers la pétition est openpetition.eu/!prevotpalestine) ;
* diffuser la demande via les réseaux sociaux (avec une courte intro personnelle, ce n'en est que mieux) ;
* aller frapper à la porte de vos voisins et en parler aux personnes que vous rencontrez (rien de plus efficace que le bouche à oreille) ;
* imprimer des formulaires permettant de collecter de signatures manuscrites (ci-joint, le formulaire ; si vous utilisez ce support, scannez le formulaire signé avant le mardi 22 et envoyez-le à bernard.delvaux@uclouvain.be) ;
* imprimer puis distribuer des tracts reprenant le QRcode (ci-joint, un modèle prêt à être imprimé ; le plus efficace est de distribuer les tracts avant que les personnes entrent dans un endroit où elles vont s'assoir, par exemple un bus ou un train, un cours, un spectacle, ...) ;
* si vous connaissez quelqu'un qui travaille dans des médias, voir s'il peut relayer l'appel ;
* ....
Et chaque fois que vous contacter quelqu'un, insister pour qu'il diffuse à son tour le message.
L'enjeu est tel, non seulement pour les Palestiniens mais plus largement pour que la puissance brute n'écrase pas le droit et la démocratie, qu'il nous semble important d'investir un peu de temps pour cette cause, même si nous savons que notre action ne suffira pas à inverser le cours des événements.
Laisser faire est-il une option ?
Bernard Delvaux et Michel Brouyaux