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Modifications de la pétition
på 30.07.2025
Søknad er adressert til: Artsen, paramedici, zorgverleners, patiënten en medeburgers
Signez cette pétition pour des soins de santé libres, de qualité et humains
Le ministre Frank Vandenbroucke mène une politique qui mine l’autonomie des médecins, prive les patients de leur liberté de choix et met en danger la qualité de nos soins. Ses propositions – telles que la suppression des téléconsultations, l’interdiction des suppléments d’honoraires, la convention obligatoire et la menace de retirer le numéro INAMI – ouvrent la voie à une médecine d’État, où ce n’est ni le médecin ni le patient, mais bien l’État qui décide des soins.
Cette approche conduit à des temps d’attente plus longs, des soins standardisés et uniformes, moins d’innovation et un exode de médecins motivés.
Nous demandons un système de santé fondé sur la confiance, le professionnalisme et la liberté – et non sur la contrainte et le contrôle politique.
Signez maintenant pour défendre l’avenir de nos soins de santé et dire stop au ministre Vandenbroucke.
Pour les patients. Pour les médecins. Pour une médecine digne et humaine.
Monsieur le Ministre Vandenbroucke,
C’est avec une grande inquiétude que nous suivons l’évolution de votre politique en matière de santé. Vos récentes propositions marquent un tournant fondamental, contraire à la liberté du patient et du médecin, et ouvrent la voie à une forme de médecine d’État qui va à l’encontre de tout ce que devrait représenter une médecine de qualité.
Une attaque idéologique contre la pratique libre
Votre politique adopte une approche dogmatique où l’État prend le contrôle total. Le plafonnement des honoraires, la suppression de la convention partielle et la menace de retrait du numéro INAMI ne sont pas des mesures au service des soins, mais des outils répressifs qui sapent gravement l’autonomie des médecins.
Un frein à une médecine moderne et accessible
La suppression du remboursement des téléconsultations touche principalement les personnes âgées, les malades chroniques et les patients à mobilité réduite. Cela accroît les inégalités dans l’accès aux soins. L’interdiction des suppléments pour les bénéficiaires de l’intervention majorée semble sociale, mais entraîne une détérioration des soins pour les plus vulnérables. Les dossiers complexes demandent du temps, un temps que les médecins ne peuvent pas se permettre sans juste rémunération. Votre politique punit les médecins qui choisissent l’autonomie et nous pousse vers une médecine uniforme et appauvrie.
Le numéro INAMI comme instrument de contrainte
La menace de retirer le numéro INAMI aux médecins qui ne suivent pas votre ligne franchit une limite démocratique. Lorsqu’une seule décision ministérielle peut anéantir des années d’études et d’investissement, nous ne sommes plus dans un État de droit. Vous gouvernez par décret, sans place pour le débat. Conséquence : frustration, burn-out et fuite des jeunes médecins qui ne se reconnaissent pas dans un modèle répressif.
La méfiance comme boussole : la politique antibiotique
Sanctionner financièrement les médecins sur base de leur comportement prescripteur est dangereux. La médecine n’est pas un algorithme: chaque cas nécessite un jugement clinique. Les généralistes sont devenus trop prudents avec les antibiotiques, avec des conséquences parfois tragiques, comme des décès par méningite. L’État privilégie les chiffres au bon sens, et porte ainsi une part de responsabilité.
Le plafonnement des honoraires nuit à la qualité
Fixer un plafond d’honoraires repose sur le mythe que le prix le plus bas garantit les meilleurs soins. Les médecins investissent dans leur formation, leur matériel, et la concertation. Le plafonnement décourage la spécialisation, l’innovation et l’entrepreneuriat. Les meilleurs professionnels se détournent du métier ou quittent le pays, là où leur engagement est encore reconnu.
Faire taire les voix critiques
Lorsque l’État contrôle le financement des syndicats médicaux, la défense des intérêts devient dépendante. Vous réduisez au silence la critique constructive.
Un tsunami administratif
Les médecins deviennent de simples exécutants. Attestations, formulaires, procédures eHealth… prennent la place de l’écoute et du soin. Ce n’est pas une modernisation, c’est un gaspillage de capital humain.
Pourquoi la médecine d’État est un échec
Votre modèle sape l’initiative, l’engagement et la responsabilité. La médecine d’État signifie : c’est l’État qui décide, pas le patient. L’histoire a montré que cela mène à des listes d’attente, à l’exode des talents, à la sous-financement et à une baisse de la qualité des soins.
En conclusion
Vos propositions de loi ne concernent pas que les médecins, elles touchent chacun d’entre nous. Elles mèneront à :
Des soins de qualité nécessitent des médecins motivés, des patients libres, et un climat de confiance et d’humanité. La Belgique mérite mieux. Les patients méritent mieux. Et nous, médecins, patients, citoyens, disons haut et fort; trop, c’est trop. Nous ne voulons pas de votre médecine d’État. Nous voulons des soins de qualité — et cela, Monsieur Vandenbroucke, est inestimable.
Respectueusement,
Dr Caroline Hermans (utilisant encore mon titre professionnel, tant que cela reste possible)
Underskriftskampanje startet:
08.06.2025
Innsamlingen avsluttes:
31.10.2025
Region:
Belgia
kategori:
Helse
POUR DÉFENDRE NOTRE (EXCELLENT) SYSTÈME DE SANTÉ 1-La Belgique possède un des meilleurs système de santé au monde. 2-Perfectible, comme tout système humain.3-Des réformes visant à perfectionner ce système sont les bienvenues, BIEN SÛR. 4-Pour réformer et améliorer= iil faut concerter toutes les parties: MAIS CELA NE PAS ÉTÉ FAIT. 5-Ce que le ministre VdB nomme "sa réforme" est en réalité un démantèlement de son essence = une "bombe atomique" destructrice en somme.
Si il était médecin , il comprendrait . Malheureusement on ne sait même pas si il a eu son CEB