Region: Belgium

Arrêtez l’idéologie du genre dans les soins de santé

Petition is addressed to
Federaal Parlement van België

704 Signatures

The petition was withdrawn by the petitioner

704 Signatures

The petition was withdrawn by the petitioner

  1. Launched May 2024
  2. Collection finished
  3. Submitted
  4. Dialogue
  5. Failed

News

05/25/2025, 13:20

Cher signataire,

Par lettre recommandée du 28 avril 2025, nous avons envoyé la liste des 704 signataires au Premier ministre Bart De Wever et au vice-Premier ministre des Affaires sociales et de la Santé publique Frank Vandenbroucke. Nous avons une fois de plus exprimé nos préoccupations dans une lettre de présentation et leur demandons de ne plus les ignorer.

Nous avons reçu la réponse suivante du Premier ministre De Wever : Nous partageons la vision selon laquelle toute politique de santé doit être fondée sur une base scientifique. L'accord de coalition prévoit donc que le Centre fédéral de connaissances sur les soins de santé (KCE) sera chargé d'enquêter sur l'utilisation d'inhibiteurs hormonaux chez les jeunes dans le contexte de la dysphorie de genre. Dans une telle étude, la tâche du KCE est de recueillir de nombreuses preuves scientifiques internationales. Naturellement, la littérature citée dans votre lettre, y compris les considérations et objections qui y sont soulevées, relève de cette rubrique. Cette étude du KCE et le rapport qui en résulte fourniront une orientation pour les politiques futures, scientifiquement fondées, dans le contexte de la dysphorie de genre.

D’un côté, c’est une bonne nouvelle que le gouvernement fédéral soit conscient du problème et que la recherche soit confiée au KCE, et qu’il ne s’appuie plus uniquement sur l’expertise de la clinique de genre de l’hôpital universitaire de Gand. D’un autre côté, externaliser cette recherche est une étape inutile. Le rapport britannique Cass est suffisamment clair et le travail ne devrait pas être répété. Il semble que ce soit une façon de « gagner du temps » pour rassurer toutes les parties.

Notre demande a été rejetée par le ministre de la Santé publique, Frank Vandenbroucke. Le cabinet Vandenbroucke a refusé d'accepter notre lettre recommandée. Nous avions déjà envoyé un courriel au ministre par le passé concernant la question du genre, mais nous n'avons jamais reçu de réponse. En refusant notre lettre recommandée, il indique clairement qu'il n'est pas disposé à entendre une contre-argumentation. Nous trouvons cela irrespectueux.

Lorsque nous avons demandé au porte-parole du ministre Vandenbroucke pourquoi la pétition – une lettre recommandée – avait été refusée et renvoyée sans réponse, une réponse évasive a été donnée. Il a promis d'enquêter sur la question, mais aucune réponse n'a été donnée. Aucune réponse n'a été donnée à la question de savoir si le ministre souhaite inscrire le traitement des mineurs souffrant de dysphorie de genre à l'ordre du jour politique. Un expert du cabinet était censé enquêter sur cette affaire, mais il s'est avéré qu'elle était en vacances.

Doorbraak.be a publié cet incident : Petitie ouders van trans kinderen vangt bot bij minister Vandenbroucke. (doorbraak.be/minister-vandenbroucke-weigert-petitie-rond-aangepaste-transgenderzorg-in-ontvangst-te-nemen).

Jan Cor
Cry for Recognition


04/29/2025, 06:05

View document

Cher signataire,

Par lettre recommandée du 28 avril 2025, nous avons envoyé la liste des 704 signataires au Premier ministre Bart De Wever et au vice-Premier ministre des Affaires sociales et de la Santé publique Frank Vandenbroucke. Avec une lettre d’introduction, nous avons une fois de plus exprimé nos inquiétudes et leur avons demandé de ne plus ignorer cela. Nous espérons une réponse constructive.
La lettre aux ministres peut être trouvée ici sous forme de document PDF.

Une brève explication sur les cliniques de genre en Belgique

Pour remédier aux longs délais d'attente pour les soins aux personnes transgenres, le ministre Frank Vandenbroucke a appelé les hôpitaux en décembre 2023 à poser leur candidature pour devenir « centre de soins aux personnes transgenres ». Cet appel n'est pas resté sans réponse et la Flandre compte désormais sept centres de soins pour les personnes transgenres : l'hôpital universitaire de Gand, l'hôpital universitaire d'Anvers, la ZAS d'Anvers, VITAZ Sint-Niklaas, l'UPC KU Leuven, l'AZ Groeninge Kortrijk et le ZOL Genk.

Pour qu’une clinique puisse offrir des soins transgenres conventionnels, elle doit disposer d’une équipe multidisciplinaire (médecin coordonnateur, psychologue clinicien, gestionnaire de cas et travailleur social). Bien sûr, ce n’est rien d’autre qu’un écran de fumée. Le terme diagnostique « incongruence de genre » doit également être conforme aux recommandations « Standards of Care 8 » du WPATH.

L'hôpital universitaire de Gand est reconnu pour son rôle d'expert. Tous les autres centres de convention doivent participer à des visites obligatoires, à un coaching individuel et à une intervision avec l'équipe de genre de l'UZ Gent pendant trois ans. Avec cela, le gouvernement veut guider les autres centres dans leur mission.

Six centres de genre en Belgique ont déjà été conventionnés : UZ Gand, CHU Liège, ZOL Genk, VITAZ Sint-Niklaas, ZAS Anvers et CHTI Erasmus Anderlecht. Quatre centres proposent également des soins de genre pédiatriques : l'Hôpital universitaire de Gand, la ZAS d'Anvers, le CHU de Liège et l'Hôpital Érasme Anderlecht (en collaboration avec l'HUDERF).

Il doit être clair que ce projet – financé par le gouvernement – ​​est motivé par des raisons idéologiques et non scientifiques.


04/04/2025, 07:41

La pétition « Stop à l’idéologie du genre dans les soins de santé » a débuté le 10 mai 2024 et s’est terminée le 31 mars 2025. Nous avons recueilli 704 signatures. Notre objectif était de remettre 2 500 signatures au parlement fédéral. Nous n’avons pas atteint cet objectif. Merci tout de même à tous ceux qui ont signé notre pétition.

Ce n’est pas un point final, le travail n’est pas terminé. Sous couvert d’identité de genre, les enfants et les adultes vulnérables sont mutilés médicalement dans le cadre d’une prétendue forme de soins. Et cela se produit à une échelle sans précédent, en plein jour, sans que personne ne s’en aperçoive.

Le journaliste et chroniqueur Jan Kuitenbrouwer l’a exprimé ainsi :
« C’est ma principale motivation : il y a une catastrophe médicale silencieuse en cours et j’essaie d’attirer l’attention sur elle. Avant même de regarder en riant les fictions postmodernes avec lesquelles tout cela a commencé, nous regardons avec honte la vallée de larmes dans laquelle elles ont dégénéré. Et Dieu sait combien de vies ont été détruites.

Un an après la publication du rapport Cass, nous continuons en Belgique à ignorer ses conclusions.
Ce rapport a clairement indiqué que les soins de santé pour les jeunes souffrant de confusion de genre étaient guidés par l’activisme, fondé sur l’idéologie. Cela a démontré qu’il n’existe aucune base scientifique pour justifier une transition médicale. Néanmoins, les cliniques de genre belges continuent de se cacher derrière les « normes de soins » de WPATH, un groupe de défense idéologique. Ce que WPATH appelle « gender care » n’est ni une science ni une médecine.

Envoyez-nous un e-mail à contact@cryforrecognition.be et nous vous tiendrons informé.

ANNONCE IMPORTANTE – FAITES ENTENDRE VOTRE VOIX À LA COMMISSION EUROPÉENNE
La Commission européenne a ouvert une consultation publique sur la future stratégie LGBTIQ de l’UE. La décision d’organiser une consultation est une bonne nouvelle ; Cela avait déjà été fait en 2024, mais le rapport avait déjà été rédigé à ce moment-là. Cependant, avec un changement de commissaire et une pression publique croissante sur les questions de genre, il semble que la Direction générale de la justice veuille à nouveau sonder l’opinion publique… (peut-être veulent-ils une excuse pour abandonner les éléments les plus controversés – comme l’auto-identification et l’interdiction des thérapies de conversion). Nous ne devons pas laisser cela uniquement aux ONG arc-en-ciel. Alors, n'hésitez pas à soumettre une demande et à la partager le plus largement possible ! La consultation se déroule jusqu'au 24 juin 2025.

ec.europa.eu/info/law/better-regulation/have-your-say/initiatives/14551-Strategie-de-lUnion-en-faveur-de-legalite-de-traitement-a-legard-des-personnes-LGBTIQ-pour-la-periode-2026-2030_fr


09/02/2024, 06:52

De duur van de petitie werd met enkele maanden verlengd om nieuwe acties te kunnen opstarten voor het bereiken van het streefdoel van 2.500 ondertekenaars.


Nieuwe einddatum: 31.03.2025
Handtekeningen op het moment van de wijziging: 517


06/25/2024, 10:05

Le Danemark a été ajouté aux pays répertoriés


New petition description:

Des jeunes – en particulier des filles – contaminés par l'idéologie du genre se voient confirmer leur « identité de genre » sans remise en question. Sans aucune preuve scientifique solide, ces jeunes sont « traités » dans des cliniques spécialisées par des médications hormonales et des opérations chirurgicales qui vont mettre à mal leur santé mentale et physique de manière irréversible.

Nous demandons que, suivant l'exemple d'autres pays, tels queque le Royaume-Uni, la Suède,Finlande, la FinlandeSuède et maintenant aussi le Royaume-Uni,Danemark, ces traitements médicaux soient arrêtés et que ces jeunes bénéficient de soins et d'un accompagnement psychologique au même titre que les autres.



Neue Begründung:

Le rapport Cass est le résultat d'une étude approfondie de quatre ans sur la prise en charge de ces enfants et adolescents au Royaume-Uni, dirigée par le Dr Hilary Cass et commandée par le NHS England (National Health Service). Il porte sur environ 9 000 patients traités dans les services de développement de l'identité sexuelle (Gender Identity Development Services) de la clinique Tavistock à Londres. Le rapport est très négatif sur la façon dont les soins de santé pour les enfants souffrant de confusion de genre, soins qui ont été guidés par l'activisme, basés sur une idéologie pour finalement les placer sur une trajectoire de changement de vie sans aucune preuve scientifique solide.Les résultats du rapport sont sans appel : les preuves sont insuffisantes pour justifier le recours à des interventions médicales pour traiter la dysphorie de genre (qui est un sentiment d'insatisfaction à l'égard de son sexe biologique).

Les études ont montré que la dysphorie de genre est généralement une phase transitoire, souvent associée à la neurodiversité, aux problèmes de santé mentale, aux traumatismes de l'enfance ou à l'attirance pour le même sexe. Il n'existe pas de méthode fiable pour déterminer qui en sortira et qui n'en sortira pas. Comment justifier alors des interventions hormonales et chirurgicales qui causent des dommages irréversibles au développement du cerveau, à la fertilité, à la densité osseuse, à la santé mentale et au fonctionnement sexuel, entre autres.

L'argument souvent entendu selon lequel la transition permet de sauver des vies a été définitivement écarté. Les revues systématiques n'ont pu fournir aucune preuve que les interventions avec des bloqueurs de puberté et des hormones réduisent les taux de suicide. De plus, le taux de suicide après une transition médicale est inquiétant. Une étude à long terme réalisée en 2011 a montré que les personnes traversant une transition médicale étaient 19 fois plus susceptibles de mourir par suicide que la population générale.

Le rapport se concentre également sur la transition sociale - traiter l'enfant comme s'il était du sexe opposé - et mentionne qu'il ne s'agit pas d'une intervention neutre car elle peut avoir des conséquences sur le fonctionnement psychologique et présente un risque important à long terme. Elle déconseille particulièrement cette intervention aux jeunes enfants, car elle peut modifier profondément leur trajectoire de développement.

La détransition - le regret de la transition - est reconnue comme un phénomène croissant qui ne peut plus être ignoré. Une étude américaine récente qui a suivi pendant quatre ans en moyenne des patients en transition médicale, a révélé que 30 % d'entre eux avaient abandonné la transition médicale.

Le rapport Cass recommande une refonte totale de la prise en charge des enfants et des jeunes ayant des problèmes de genre. Ces jeunes méritent d'être traités avec les mêmes soins que les autres et non comme un projet distinct mené par des activistes cherchant à confirmer leur propre identité d'adulte et leur système de croyances.

Le NHS souhaite également étendre la recherche aux cliniques spécialisées dans les questions de genre pour adultes. Les dénonciateurs confirment que le groupe des jeunes adultes âgés de 18 à 25 ans est souvent psychologiquement vulnérable et mérite une protection similaire.

Le rapport Cass a des implications mondiales. Suivant l'exemple d'autres pays, tels queque le Royaume-Uni, la Suède,Finlande, la FinlandeSuède et maintenant le Royaume-Uni,Danemark, il est urgent que nous imposions nous aussi un moratoire sur ces traitements expérimentaux.

Nous espérons que ce rapport marquera un tournant, que le bon sens prévaudra et que le serment du médecin « Primum non nocere » (d'abord ne pas nuire) redeviendra le principe directeur.



New deadline: 25.11.2024
Signatures at the time of the change: 177


06/22/2024, 04:39

Un détail : 'ou à l'attirance pour le même sexe'.au lieu de 'et à l'attirance pour le même sexe.'.


Neue Begründung:

Le rapport Cass est le résultat d'une étude approfondie de quatre ans sur la prise en charge de ces enfants et adolescents au Royaume-Uni, dirigée par le Dr Hilary Cass et commandée par le NHS England (National Health Service). Il porte sur environ 9 000 patients traités dans les services de développement de l'identité sexuelle (Gender Identity Development Services) de la clinique Tavistock à Londres. Le rapport est très négatif sur la façon dont les soins de santé pour les enfants souffrant de confusion de genre, soins qui ont été guidés par l'activisme, basés sur une idéologie pour finalement les placer sur une trajectoire de changement de vie sans aucune preuve scientifique solide.Les résultats du rapport sont sans appel : les preuves sont insuffisantes pour justifier le recours à des interventions médicales pour traiter la dysphorie de genre (qui est un sentiment d'insatisfaction à l'égard de son sexe biologique).

Les études ont montré que la dysphorie de genre est généralement une phase transitoire, souvent associée à la neurodiversité, aux problèmes de santé mentale, aux traumatismes de l'enfance etou à l'attirance pour le même sexe. Il n'existe pas de méthode fiable pour déterminer qui en sortira et qui n'en sortira pas. Comment justifier alors des interventions hormonales et chirurgicales qui causent des dommages irréversibles au développement du cerveau, à la fertilité, à la densité osseuse, à la santé mentale et au fonctionnement sexuel, entre autres.

L'argument souvent entendu selon lequel la transition permet de sauver des vies a été définitivement écarté. Les revues systématiques n'ont pu fournir aucune preuve que les interventions avec des bloqueurs de puberté et des hormones réduisent les taux de suicide. De plus, le taux de suicide après une transition médicale est inquiétant. Une étude à long terme réalisée en 2011 a montré que les personnes traversant une transition médicale étaient 19 fois plus susceptibles de mourir par suicide que la population générale.

Le rapport se concentre également sur la transition sociale - traiter l'enfant comme s'il était du sexe opposé - et mentionne qu'il ne s'agit pas d'une intervention neutre car elle peut avoir des conséquences sur le fonctionnement psychologique et présente un risque important à long terme. Elle déconseille particulièrement cette intervention aux jeunes enfants, car elle peut modifier profondément leur trajectoire de développement.

La détransition - le regret de la transition - est reconnue comme un phénomène croissant qui ne peut plus être ignoré. Une étude américaine récente qui a suivi pendant quatre ans en moyenne des patients en transition médicale, a révélé que 30 % d'entre eux avaient abandonné la transition médicale.

Le rapport Cass recommande une refonte totale de la prise en charge des enfants et des jeunes ayant des problèmes de genre. Ces jeunes méritent d'être traités avec les mêmes soins que les autres et non comme un projet distinct mené par des activistes cherchant à confirmer leur propre identité d'adulte et leur système de croyances.

Le NHS souhaite également étendre la recherche aux cliniques spécialisées dans les questions de genre pour adultes. Les dénonciateurs confirment que le groupe des jeunes adultes âgés de 18 à 25 ans est souvent psychologiquement vulnérable et mérite une protection similaire.

Le rapport Cass a des implications mondiales. Suivant l'exemple d'autres pays, tels que la Suède, la Finlande et maintenant le Royaume-Uni, il est urgent que nous imposions nous aussi un moratoire sur ces traitements expérimentaux.

Nous espérons que ce rapport marquera un tournant, que le bon sens prévaudra et que le serment du médecin « Primum non nocere » (d'abord ne pas nuire) redeviendra le principe directeur.



New deadline: 25.11.2024
Signatures at the time of the change: 174


06/22/2024, 02:44

Correctie in de zinsbouw: aussi le Royaume-Uni


New petition description:

Des jeunes – en particulier des filles – contaminés par l'idéologie du genre se voient confirmer leur « identité de genre » sans remise en question. Sans aucune preuve scientifique solide, ces jeunes sont « traités » dans des cliniques spécialisées par des médications hormonales et des opérations chirurgicales qui vont mettre à mal leur santé mentale et physique de manière irréversible.

Nous demandons que, suivant l'exemple d'autres pays, tels que la Suède, la Finlande et maintenant aussi le Royaume-Uni, ces traitements médicaux soient arrêtés et que ces jeunes bénéficient de soins et d'un accompagnement psychologique au même titre que les autres.



Neue Begründung:

Le rapport Cass est le résultat d'une étude approfondie de quatre ans sur la prise en charge de ces enfants et adolescents au Royaume-Uni, dirigée par le Dr Hilary Cass et commandée par le NHS England (National Health Service). Il porte sur environ 9 000 patients traités dans les services de développement de l'identité sexuelle (Gender Identity Development Services) de la clinique Tavistock à Londres. Le rapport est très négatif sur la façon dont les soins de santé pour les enfants souffrant de confusion de genre, soins qui ont été guidés par l'activisme, basés sur une idéologie pour finalement les placer sur une trajectoire de changement de vie sans aucune preuve scientifique solide.Les résultats du rapport sont sans appel : les preuves sont insuffisantes pour justifier le recours à des interventions médicales pour traiter la dysphorie de genre (qui est un sentiment d'insatisfaction à l'égard de son sexe biologique).

Les études ont montré que la dysphorie de genre est généralement une phase transitoire, souvent associée à la neurodiversité, aux problèmes de santé mentale, aux traumatismes de l'enfance et à l'attirance pour le même sexe. Il n'existe pas de méthode fiable pour déterminer qui en sortira et qui n'en sortira pas. Comment justifier alors des interventions hormonales et chirurgicales qui causent des dommages irréversibles au développement du cerveau, à la fertilité, à la densité osseuse, à la santé mentale et au fonctionnement sexuel, entre autres.

L'argument souvent entendu selon lequel la transition permet de sauver des vies a été définitivement écarté. Les revues systématiques n'ont pu fournir aucune preuve que les interventions avec des bloqueurs de puberté et des hormones réduisent les taux de suicide. De plus, le taux de suicide après une transition médicale est inquiétant. Une étude à long terme réalisée en 2011 a montré que les personnes traversant une transition médicale étaient 19 fois plus susceptibles de mourir par suicide que la population générale.

Le rapport se concentre également sur la transition sociale - traiter l'enfant comme s'il était du sexe opposé - et mentionne qu'il ne s'agit pas d'une intervention neutre car elle peut avoir des conséquences sur le fonctionnement psychologique et présente un risque important à long terme. Elle déconseille particulièrement cette intervention aux jeunes enfants, car elle peut modifier profondément leur trajectoire de développement.

La détransition - le regret de la transition - est reconnue comme un phénomène croissant qui ne peut plus être ignoré. Une étude américaine récente qui a suivi pendant quatre ans en moyenne des patients en transition médicale, a révélé que 30 % d'entre eux avaient abandonné la transition médicale.

Le rapport Cass recommande une refonte totale de la prise en charge des enfants et des jeunes ayant des problèmes de genre. Ces jeunes méritent d'être traités avec les mêmes soins que les autres et non comme un projet distinct mené par des activistes cherchant à confirmer leur propre identité d'adulte et leur système de croyances.

Le NHS souhaite également étendre la recherche aux cliniques spécialisées dans les questions de genre pour adultes. Les dénonciateurs confirment que le groupe des jeunes adultes âgés de 18 à 25 ans est souvent psychologiquement vulnérable et mérite une protection similaire.

Le rapport Cass a des implications mondiales. Suivant l'exemple d'autres pays, tels que la Suède, la Finlande et maintenant le Royaume-Uni, il est urgent que nous imposions nous aussi un moratoire sur ces traitements expérimentaux.

Nous espérons que ce rapport marquera un tournant, que le bon sens prévaudra et que le serment du médecin « Primum non nocere » (d'abord ne pas nuire) redeviendra le principe directeur.



New deadline: 25.11.2024
Signatures at the time of the change: 173


Help us to strengthen citizen participation. We want to support your petition to get the attention it deserves while remaining an independent platform.

Donate now