Gesundheit

Libération immédiate de l'exigence de masque dans toutes les situations à l'Université de Fribourg

Petent/in nicht öffentlich
Petition richtet sich an
Rectorat de l'Université de Fribourg. Recteur, Pr Astrid Epiney
142 Unterstützende

Petent hat die Petition nicht eingereicht/übergeben.

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  1. Gestartet 2020
  2. Sammlung beendet
  3. Eingereicht
  4. Dialog
  5. Gescheitert
  1. Tous les étudiants et participants devraient être exemptés de l'obligation de porter un masque dans les salles de cours et de séminaire si la distance minimale ne peut être respectée.
  2. Si la pétition est rejetée, une déclaration scientifiquement et légalement justifiée ainsi que des réponses aux questions énumérées ci-dessous doivent être jointes.

La demande complète et détaillée ainsi que les annexes se trouvent ici : https://drive.switch.ch/index.php/s/msfNPAAE0IP6gBv

Examen des questions suivantes : 1) Comment l'Université traite-t-elle de ce conflit éthique, qui est de s'attendre à ce que des personnes en bonne santé soient désavantagées dans leurs résultats scolaires ainsi qu'à des dommages corporels potentiels sur fond de proportionnalité ? 2) Quelles mesures l'Université prend-elle pour protéger les personnes qui ne peuvent pas/ne veulent pas porter un masque contre l'exclusion social en tant que « personnes dangereuses » ? 3) Quelles conséquences les personnes qui s'opposent au port de masques doivent-elles craindre et comment peut-on s'assurer qu'elles ne subissent aucun désavantage, sur la base de l'interdiction de discrimination (art. 8 al. 2 BV) ? 4. Comment assurez-vous que les personnes décédées sont mortes par COVID-19 et non seulement avec COVID-19 (mais à cause d'une ou plusieurs maladies antérieures), dont l'évaluation du danger par COVID-19 dépend directement ? 5. Existe-t-il des preuves de surmortalité en Suisse au cours du premier trimestre 2020 ? 6 En quoi le SRAS-CoV-2 diffère-t-il des autres virus/coronavirus de la grippe dans la mesure où, contrairement aux épidémies de grippe du passé, des mesures restrictives sans précédent ont été prises ? 7. Le test de dépistage du SRAS-CoV-2 utilisé en Suisse a-t-il été validé comme détecteur du COVID-19 et, si oui, comment ? 8. Le test du COVID-19 utilisé en Suisse est-il basé sur PCR ? Si oui, veuillez expliquer le fonctionnement et la procédure en vigueur en ce qui concerne la signification des résultats. 9. Si un autre test de dépistage du virus est utilisé en Suisse, veuillez le nommer et décrire son fonctionnement. 10. Quelle est la fiabilité des tests utilisés ? Quelle est la fréquence de faux résultats ? 11. Comment s'assurer qu'un résultat positif ne provient pas d'une autre source (contamination) ? Sans purification et caractérisation des particules virales, un test ne peut pas être une preuve de la présence d'un virus (absence de spécification). 12. Comment avez-vous déterminé la transmissibilité et la pathogénicité du COVID-19 ? 13. Les conditions requises pour le virus SRAS-CoV-2, telles qu'elles ont été définies par Robert Koch, sont-elles remplies pour qu'il puisse être désigné comme l'agent causal d'une maladie spécifique ? Les quatre postulats de Koch doivent être remplis dans leur intégralité afin de prouver qu'un micro-organisme pathogène est l'agent causal d'une maladie infectieuse :

a. L'agent pathogène ou le micro-organisme (par exemple un virus) peut être transféré de l'individu malade à une culture pure (cultivée). b. Il doit être possible de détecter le micro-organisme dans tous les cas montrant les mêmes symptômes, mais pas chez les personnes en bonne santé. c. Un individu précédemment en bonne santé, après avoir été infecté par le micro-organisme de la culture pure, présentera les mêmes symptômes que celui dont le micro-organisme est issu à l'origine. d. Le micro-organisme peut être transféré des individus ainsi infectés et malades à nouveau à une culture pure. 14. Si les postulats de Koch sont remplis, veuillez fournir des études qui démontrent de manière concluante que le virus SRAS-CoV-2 a été détecté (purification complète, isolement et détermination des propriétés biochimiques plus imagerie au microscope électronique) 15. Veuillez svp citer les études qui démontrent de manière concluante que le SRAS-CoV-2 est pathogène et qu'aucun autre facteur ne contribue au moins à l'évolution de la maladie.

Begründung

  1. Absence de base juridique

a) Il n'est pas clair sur quelle base juridique le rectorat ou le canton fonde l'obligation conditionnelle de porter un masque dans les salles de conférence et de séminaire, entrée en vigueur le 1er août 2020. Il n'y a aucune preuve qu'une situation spéciale en vertu de l'article 6, paragraphe 1 LEp existe encore en août 2020. Même si une situation particulière existait au début de la crise à la fin du mois de février 2020, il faudrait qu'elle persiste pour pouvoir justifier une mesure potentiellement néfaste pour les personnes en bonne santé. b) Des mesures à l'encontre de personnes individuelles ne peuvent être ordonnées que pour éviter un risque grave pour la santé de tiers (cf. art. 31, al. 4, LEp). Aucune de ces dispositions ne permet l'introduction d'une obligation de port de masque pour les étudiants ou les participants, et encore moins pour les personnes en bonne santé. c) Les mesures en faveur de la population au sens de l'art. 40 al. 1 LEp ne sont également autorisées que pour prévenir la propagation de maladies transmissibles dans la population. Aucune mesure ne peut être prise à l'encontre de personnes en bonne santé ; elles ne présentent aucun danger. d) L'augmentation présumée du « nombre de cas » depuis la mi-juin 2020 (FAQ nouveau coronavirus de l'OFSP du 1er juillet 2020) ne présente pas une justification suffisante. Selon les statistiques de l'OFSP, le taux de positivité a été constant à 1 % ou moins au cours des deux mois précédant l'adoption des directives du 6 juillet (https://covid-19-schweiz.bagapps.ch/fr-3.html). Avant la publication des lignes directrices, il n'y avait pas de risque accru d'infection, mais seulement une augmentation des tests.

  1. L'obligation de porter un masque est inadaptée à l'objectif visé (a) Or, les masques ne protègent pas contre le nouveau coronavirus. Ce virus est si minuscule que la plupart des masques utilisés ne protègent pas efficacement contre la transmission du virus. Dans le livre récemment publié, « Corona Fehlalarm », le Prof. Dr. méd. Sucharit Bhakdi, spécialiste en microbiologie et en épidémiologie des infections, et le Prof. Dr. rer. nat. Karina Reiss expliquent les points suivants. Point 1) Il n'y a pas de preuve scientifique que des personnes sans symptômes, sans toux ni fièvre, propagent la maladie. Point 2) Les masques couramment utilisés ne protègent pas contre la transmission du virus, notamment en cas de toux. Point 3) On sait que les masques ne protègent pas contre les infections. Les virus passent à travers les masques usuels ou des tissus couvrant nez et bouche comme à travers une fenêtre ouverte. b) « Les personnes portant les masques susmentionnés ne peuvent pas supposer qu’elles se protègent ou qu’elles protègent les autres de la transmission du SRAS-CoV-2, car aucun effet protecteur n'a été prouvé pour ces masques ». (Office fédéral allemand des médicaments et des dispositifs médicaux (BfArM)). c) La National COVID-19 Science Task Force (NCS-TF) a publié un document le 1er juillet 2020, qui vise à démontrer les avantages du port du masque en public. Cependant, un examen de ce document montre que l'attention est attirée sur le fait que rendre les masques obligatoires contribue à sensibiliser le public. Il s'agit donc avant tout de maintenir les gens dans la crainte du virus SRAS-Cov-2, et non de se protéger ou de protéger les autres.
  2. Le caractère disproportionné de l'obligation de porter des masques Un avantage non prouvé s’oppose aux dangers pour la santé. Les demandeurs/signataires refusent d'être contraints à des comportements risqués et invoquent leur droit fondamental à la liberté individuelle, notamment leur intégrité physique (art. 10, al. 2 Cst.). Les demandeurs/signataires se défendent contre une discrimination/un désavantage potentiel/le au sens de l'interdiction de la discrimination (art. 8, al. 2 Cst.).
Vielen Dank für Ihre Unterstützung

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Neuigkeiten

  • Liebe Unterstützende,
    der Petent oder die Petentin hat innerhalb der letzten 12 Monate nach Ende der Unterschriftensammlung keine Neuigkeiten erstellt und den Status nicht geändert. openPetition geht davon aus, dass die Petition nicht eingereicht oder übergeben wurde.

    Wir bedanken uns herzlich für Ihr Engagement und die Unterstützung,
    Ihr openPetition-Team

  • Chers partisans de la pétition,

    Dans ce qui suit, je voudrais vous informer que l'université a ouvert une procédure disciplinaire contre moi le 24 novembre (voir pièce jointe SWITCH). L'introduction a eu lieu après une conversation avec le département de psychologie, au cours de laquelle j'ai précisé que je ne porterais pas de masque à l'université. Dans ce contexte, j'ai attiré l'attention sur divers aspects juridiques du "masque facial obligatoire" ainsi que sur les raisons médicales de l'inefficacité et de la nocivité des masques (certificat factuel et légal du Dr Heinz Raschein). En termes de contenu, l'université n'aborde aucun aspect médical ou juridique et ne suit que les directives des cantons et du Conseil fédéral.

    En outre, il y... weiter

Article bien fondé dans l'ejournal "Krankenhaushygiene up2date" "Protection de la bouche et du nez en public: aucune preuve d'efficacité"

Eléments de réponses aux questions et aux raisons présentées d'une personne lambda https://www.fichier-pdf.fr/2020/10/14/contre/ Bonne semaine à tous

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